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emmanuel macron - Page 4

  • Feu sur la désinformation... (383)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Les images de la prise du palais présidentiel sri-lankais par des manifestants remontés ont fait le tour du monde. Et si les médias vous dissimulaient certaines causes de la crise économique qui bouleverse ce pays ? Jean-Yves Le Gallou revient sur un tabou médiatique français.
    • 2 - Gangs pakistanais, viols, censure : ça continue en Angleterre !
      Samantha Smith, journaliste conservatrice britannique, s'est exprimée à la télévision anglaise vendredi dernier. Elle-même violée lorsqu'elle était plus jeune dans sa ville natale (Telford), elle affirme que le phénomène des viols collectifs de mineures par des gangs de pakistanais subsiste toujours dans la commune. La réaction des policiers anglais va certainement en scandaliser plus d'un.
    • 3 - Revue de presse
      Coupure du gaz russe, Clémentine Autain assume mentir aux français, Musk livre bataille à Twitter, les médias seraient infestés par l'extrême-droite et bien d'autres sujets ... Tous les moments médiatiques marquants de la semaine sont passés au crible par Jean-Yves Le Gallou et son esprit caustique !
    • 4 - Uber Files : une affaire louche
      Qui est le lanceur d'alerte à l'origine des "Uber Files" ? Les médias français posent-ils les bonnes questions dans cette affaire ? Jean-Yves Le Gallou vous explique ce qui est reproché à Uber et à Emmanuel Macron et ne mâche pas ses mots envers la caste médiatique.

     

                                               

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  • Le Système a perdu une bataille, mais pas la guerre...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré aux résultats des élections législatives.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

     

    Députés RN_Assemblée nationale.jpg

    Succès du RN : le Système a perdu une bataille, mais pas la guerre

    Ce devait être la martingale infaillible : pour la présidentielle, un duel Macron-Le Pen conduisant la gauche extrême à voter pour le premier afin de « faire barrage » à la seconde. Et pour les législatives, la même gauche en repoussoir pour effrayer le bourgeois et présenter Ensemble comme un recours. Las, il suffisait de regarder les mines réjouissantes des médiacrates, dimanche soir, pour se douter que cette belle manœuvre avait échoué.

    Caramba, Jupiter s’est planté !

    Non seulement la NUPES n’atteint pas du tout les scores mirifiques que nous promettaient les instituts de sondage – ce qui démontre en passant le caractère hautement « scientifique » de leurs travaux ! – mais avec 89 élus, le RN enregistre une progression sans précédent.
    Au point que le Président Macron ne dispose pas de la majorité absolue des sièges à l’Assemblée nationale et se retrouve de fait dans une situation de cohabitation non-désirée, obligé de constituer des alliances de circonstance, comme au bon vieux temps de la quatrième république.

    Caramba, Jupiter s’est planté !

    Les astrologues médiatiques tombés dans un puits

    Trop occupés à faire la promotion de la NUPES, les médias mainstream (plus de 50 % du temps de parole donnés aux candidats NUPES sans que cela ne gêne l’Arcom !) et les instituts de sondage ont en effet totalement sous-estimé deux phénomènes :

    • d’une part, la très grande déception, pour ne pas dire plus, de l’opinion devant la réélection d’Emmanuel Macron, le gendre de moins en moins idéal ;
    • d’autre part, l’inquiétude que suscitait la perspective d’un second mandat sans aucun contrepoids politique. Inquiétude renforcée par le ralliement ostensible d’Emmanuel Macron au camp des bellicistes anglo-saxons et par son indifférence affichée aux conséquences catastrophiques des sanctions antirusses.

    Les experts de plateaux télé ont aussi négligé que la diabolisation de Reconquête avait aussi servi l’image du RN et que si l’union de la droite ne se faisait pas au niveau des états-majors, elle pouvait se faire dans les urnes. Il est d’ailleurs probable qu’une alliance RN-Reconquête au premier tour des législatives aurait amplifié la débandade des candidats macroniens, globalement dépourvus d’implantation locale réelle.

    Raison garder

    La belle percée électorale du RN, malgré tous les obstacles placés sur sa route, témoigne de son implantation populaire. Elle confirme aussi qu’en politique le désespoir absolu est bien la sottise absolue.
    Mais il faut cependant raison garder.

    D’abord l’histoire parlementaire abonde d’exemples où de braves gens, élus sous une étiquette de rupture, ont été vite digérés par le régime. Ce fut notamment le cas des élus poujadistes sous la IVème république[1].

    Sur ce plan la gauche échappe généralement à ce péril car elle est plus motivée idéologiquement et plus disciplinée.
    Le RN, dont l’expérience parlementaire est limitée, va donc devoir faire preuve de vigilance et de compétence afin d’éviter cet écueil.

    La France ingouvernable, vraiment ?

    Ensuite, il faut relativiser une victoire électorale parce que l’Assemblée nationale a tout simplement perdu l’essentiel de ses pouvoirs au 21e siècle. Nous ne sommes plus en 1958 ni même en 1981 !
    Les médias nous abreuvent de titres selon lesquels la France serait devenue « ingouvernable » depuis le 19 juin. Quelle plaisanterie !

    La France va au contraire continuer d’être gouvernée par la Commission Européenne – qui fixe chaque année nos grandes orientations de réformes –, par la BCE, par l’OTAN, par le pouvoir judiciaire (non élu…), par les lobbies, les ONG ou les dirigeants des grandes entreprises mondialisées.

    Face à tous ces vrais pouvoirs, notre parlement – dont l’essentiel de l’activité législative consiste, il faut le rappeler, à retranscrire des directives bruxelloises – compte les coups, en simple spectateur. Même ses pouvoirs de contrôle sont incapables de rivaliser avec eux et sont de toute façon très inférieurs à ceux des parlements étrangers, notamment anglo-saxons.

    Le pouvoir n’est plus à prendre mais à reforger

    Aujourd’hui, le pouvoir est avant tout économique, financier, judiciaire, européen ou technologique, et de moins en moins national, législatif, populaire et démocratique.
    Les hommes politiques visibles – président, ministres ou parlementaires – ne sont pas les décideurs en dernier ressort, ce qu’a très bien compris, manifestement, le plus grand parti de France : celui des abstentionnistes.
    Et si les projets – que soutient Emmanuel Macron évidemment – de suppression de la règle de l’unanimité dans le fonctionnement européen, voient le jour, la souveraineté nationale sera définitivement enterrée au sein de la zone euro.

    Il faut donc replacer l’incontestable victoire électorale du RN, dans ce contexte frustrant. De nos jours, le pouvoir est moins à prendre qu’à reforger, en redonnant du pouvoir au pouvoir, en investissant de nouveaux lieux de pouvoir, justement.

    Espérons que les députés du RN auront compris l’enjeu et sauront agir en ce sens.

    Le Système a perdu une bataille, mais pas la guerre

    Il ne faut pas bouder son plaisir pour autant : en juin 2022, le Système a bien perdu une bataille politique en France, et le nouveau quinquennat d’Emmanuel Macron, commence bien mal.

    Mais la guerre qui oppose le bloc élitaire – l’oligarchie qui a pris le pouvoir en Europe avec ses idiots utiles – au bloc populaire – qui ne veut pas être remplacé ni réduit à la mendicité – ne s’achève pas pour autant.
    Elle ne fait que commencer.

    Michel Geoffroy (Polémia, 23 juin 2022)

     

    Note :

    [1] A l’exception d’un certain Jean Marie Le Pen…..

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  • Macron : entre anarchie et dictature...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 11 juin 2022 et présenté par Élise Blaise, qui recevait Xavier Raufer, pour revenir sur la situation sécuritaire alarmante de notre pays, qui s’aggrave au fil du temps, alors que jamais la déconnexion des élites n'a été aussi flagrante...

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et, tout récemment, Le crime mondialisé (Cerf, 2019).

     

                                    

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  • Feu sur la désinformation... (373)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      La campagne présidentielle semble remuer violemment le président sortant Emmanuel Macron. Son déplacement à Denain nous a donné une image très drôle !
    • 2 - Marine Le Pen re-diabolisée par les médias ?
      Eric Zemmour semble avoir servi de paratonnerre à Marine le Pen pendant la campagne du premier tour, attirant sur lui les ires et les foudres du système médiatique. La candidate du Rassemblement national est-elle en passe d’être à nouveau diabolisée par le cartel des médias ?
    • 3 - Revue de presse
      Marine Le Pen épinglée par la presse sur ses chiffres de l’immigration, un tireur pro-Black Lives Matter à Brooklyn, 3 filles excisées dans la Sarthe, une production théâtrale pédophile à Londres, l’envoi douteux de mails de campagne au corps enseignant par Macron.
    • 4 - Médias et politique, relations tendues
      Depuis que Marine le Pen a refusé d’accréditer "Quotidien" à ses meetings, la polémique bat son plein. Les journalistes se sentent menacés par les candidats et vice-versa. Analyse d’une relation tendue entre médias et politiques.

     

                                              

     

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  • Les lemmings votent Macron !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré au deuxième tour de l'élection présidentielle.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

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    Les lemmings votent Macron !

    Les lemmings sont de petits rongeurs du nord de l’Europe, qui ont l’habitude de se déplacer en masse et parfois de tomber dans l’eau, tous ensemble, pour s’y noyer. Mais, depuis dimanche dernier, on sait qu’en France aussi il y a des lemmings… mais de la pire espèce : l’espèce électorale.

    Les lemmings abstentionnistes n’ont ni mains ni pattes

    Les abstentionnistes constituent le premier groupe de lemmings électoraux français.

    Depuis l’élection présidentielle de 2017, ils ont même proliféré en pourcentage du corps électoral : désormais ils représentent 25 % des électeurs inscrits pour le premier tour de l’élection, soit 12 824 149 lemmings exactement !

    Comme leurs petits congénères à quatre pattes, on ne sait pas bien ce qui motive leur comportement.

    Soit que le destin politique de la nation ne les concerne pas. Soit, que l’offre politique ne leur convienne pas ; mais comme il y avait déjà 12 candidats lors du premier tour de la présidentielle de 2022, on voit donc que ces lemmings ont l’odorat particulièrement délicat ! Soit qu’ils considèrent que les élections ne servent à rien.

    Mais, ce faisant, les lemmings abstentionnistes du premier tour adoptent le comportement stupide des pacifistes qui, en refusant de porter les armes, laissent le champ libre à ceux qui en ont. Les lemmings abstentionnistes ont les mains – les pattes – pures : mais parce qu’ils n’ont ni mains ni pattes.

    Les Grecs auraient méprisé ces prétendus citoyens qui refusent de s’engager et de se présenter au forum, et ils leur auraient retiré leur… citoyenneté !

    Les lemmings macronphiles n’ont pas de tête

    Viennent ensuite les lemmings qui ont voté pour Emmanuel Macron : 9 785 578 lemmings macronphiles exactement, soit 1 128 252 de plus qu’au premier tour de l’élection de 2017 ! Dans nos rues, on les reconnaît notamment au fait qu’ils continuent de porter un masque anti-covid ou qu’ils arborent les couleurs de l’Ukraine ou de la lutte contre le sida.

    Le comportement électoral de ces lemmings est étonnant. En 2017, ils pouvaient encore invoquer leur manque d’expérience ou le caractère novateur de la candidature du « gendre idéal ». Mais cinq ans après ?

    Manifestement, si les lemmings abstentionnistes n’ont ni mains ni pattes, les macronphiles, eux, n’ont pas de tête ! Car ils ne voient rien, n’entendent rien et ne sentent rien.

    Ils n’ont rien vu du catastrophique quinquennat d’Emmanuel Macron. Ni l’explosion de l’insécurité, de l’immigration, des taxes, des prix, de la précarité, de la désindustrialisation. Ni le déclassement international de la France. Ni la répression des opposants. Ni les affaires.

    Rien ! Ils n’ont rien vu, ils n’ont rien compris, ou alors tout cela ne compte pas à leurs yeux.

    Tel le Zadig de Voltaire [1], les macronphiles trouvent en effet que tout va bien quand tout va mal.

    Les macronphiles réduisent la politique à l’art du selfie

    Un micro-trottoir réalisé par TV Libertés [2] le jour du seul meeting parisien d’Emmanuel Macron, d’avant le premier tour, laisse rêveur quant à ce qui motive les macronphiles : il est bon orateur, il représente bien la France, il est beau, il a bien géré la pandémie, etc.

    Les lemmings macronphiles réduisent la politique à l’art du selfie ! Car ils ont quand même voté pour un candidat qui n’a pas fait campagne et qui n’a pas jugé utile de présenter un programme.

    Bien sûr, il y a tous ceux qui ont bien compris qu’Emmanuel Macron était bon pour leurs affaires ou leur agenda comme ils disent. Mais ils ne sont pas 9,7 millions, loin de là !

    La majorité des lemmings macronphiles votent donc par habitude, par peur du changement, ou parce qu’ils croient à la propagande et aux sondages.

    Ils croient donc aussi à l’origine anthropique du changement climatique, aux vertus des vaccins de Pfizer, à la valeureuse démocratie ukrainienne, à l’immigration-chance-pour-la-France, bref à tout ce qui se dit sur BFM TV et dans la presse bien-pensante. Et bien sûr ils ont peur des extrêmes, comme on le leur inculque chaque jour, avec la haine de Poutine et la crainte de la Chine.

    Les lemmings sinistrogyres

    On n’oubliera pas dans cette triste énumération les lemmings de gauche, ou sinistrogyres, soit quand même 31,4 % des suffrages exprimés, mais répartis entre six candidats, donc la moitié des concurrents du premier tour !

    Pauvres lemmings qui ont tenté de faire croire qu’Emmanuel Macron n’était pas de gauche ou pas assez de gauche, alors qu’il incarne justement la nouvelle gauche libérale-libertaire qui a pris le pouvoir avec le capitalisme sans frontières. Et qui de toute façon, comme dame Pécresse – qui représente un autre groupe de lemmings en voie d’extinction [3] –, appelleront à voter pour lui afin de « faire barrage à l’extrême droite » au second tour. On comprend qu’ils aient eu du mal à convaincre les lemmings autochtones [4] de les suivre…

    D’autant que ces sinistrogyres font toujours mine de croire, trente ans après la chute de l’URSS, qu’il suffit de faire payer les riches – c’est-à-dire d’appauvrir encore plus la classe moyenne [5] donc eux-mêmes pour l’essentiel – ou de rouler à vélo pour trouver de l’argent ou de l’énergie magiques.

    Tous les lemmings derrière le joueur de flûte !

    Nous tous, écrit Emmanuel Macron sur ses affiches électorales.

    Il a bien raison d’avoir choisi ce slogan car tous ces lemmings politiques marchent avec entrain vers sa réélection, lui, le nouveau joueur de flûte de Hamelin [6]. Celui qui va conduire tout ce beau monde à la noyade, et nous avec, au son du « vivre ensemble » et de l’anti-fâââchisme.

    Pourtant, personne ne peut ignorer qu’un nouveau quinquennat serait encore plus désastreux que le précédent. Mais les lemmings politiques non seulement n’ont ni mains ni tête : ils sont aussi des ânes bâtés qui refusent de voir ce qu’ils voient.

    Il ne reste qu’une dizaine de jours pour les réveiller de leur stupide torpeur !

    Michel Geoffroy (Polémia, 13 avril 2022)

     

    Notes :

    [1] Le conte philosophique de Voltaire, pas la marque pour ados !
    [2] Journal du 4 avril 2022.
    [3] 4,78 % des suffrages exprimés le 10 avril 2022.
    [4] D’après les sondages, une forte proportion d’électeurs se déclarant de religion musulmane vote pour les candidats de gauche.
    [5] Parce que, à l’âge du marché mondial et des paradis fiscaux, il n’est plus possible de taxer réellement les plus riches.
    [6] Selon la légende revisitée par les frères Grimm.

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  • L'Enfer...

    Le numéro 52 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré à l'euthanasie, un dossier politique sur Emmanuel Macron, des entretiens avec Rémi Brague, avec Renaud Camus et avec Gaspard Noé ainsi que les rubriques habituelles "Monde", "Essais", "Culture", et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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